Leur nom évoque le voyage, l’aventure, les rencontres, l’élégance… Paris-Deauville, Paris-Venise, Paris-Biarritz, les trois nouvelles Eaux de Chanel sont une invitation au voyage sur fond d’agrumes et de fraîcheur.
Sauter dans un train et partir ! N’importe où. Enfin, pas tout à fait, de préférence pour des destinations chics et mythiques comme celles qu’a choisies Chanel pour ses trois Eaux.
Paris-Deauville fait référence à la station de la côte normande où Gabrielle Chanel lança, en 1913, sa première collection. Olivier Polge, le nez de la maison, a imaginé un parfum vif et énergique à base de notes d’écorce d’orange et de feuille de basilic qui se marient à de l’essence de rose, des senteurs jasminées et du patchouli.
On prend ensuite la route pour Venise – si possible à bord de l’Orient-Express que Chanel avait, du reste, déjà mis en scène dans une sublime pub. « Je voulais qu’on sente cette ouverture sur l’Orient, qui est aussi chez Chanel une évocation du baroque. C’est probablement l’Eau la plus citadine des trois. » Et peut-être plus sensuelle, aussi, avec ses fruits rouges associés à l’iris, au géranium de Grasse, au bois de cèdre et à la vanille.
Enfin, dernière destination olfactive Paris-Biarritz, sur la côte basque, où Chanel inaugura, en 1915, une nouvelle boutique dans cette station fréquentée par la haute société de l’époque. Dans l’esprit de cette destination où sport et élégance se marient depuis toujours, l’Eau joue sur une envolée de pamplemousse et de mandarine, suivie d’une note aqueuse, d’un accord muguet, de vétiver et de muscs blancs.